Véronique Beliveau
JÉRUSALEM



C'est un matin comme les autres
Soleil couche au pied du lit
Je me réveille et m'accueille dans tes bras
Entends le bruit qu'ils font dehors
Partout des larmes, partout des cris
Le monde est loin
Et moi je suis bien dans tes bras
Le monde est en folie, le monde est fou
Le monde est loin de nous
Et pourtant ses peines viennent jusqu'à nous
Nous, on est bien du cote de l'amour

Nous, on veut vivre du cote de la vie
Et si le monde est comme nous
Avec tous ceux et celles dont le coeur brille
Nous referons Jérusalem

Demande-moi ce que tu veux
J'ai tant de choses a te donner
Je ne veux rien
Non, rien que toi et le soleil
Le monde est en folie, le monde est fou
Le soleil est partout
Mais des gens se battent tout autour de nous
Il faut qu'ils parlent plutôt que de crier

Il faut qu'ils parlent plutôt que de crier
Il faut leur dire qu'ils n'ont rien a gagner
Il faut leur dire de s'aimer
Et retrouver Jérusalem

Oh!, Oh! Entends chanter le mont des oliviers
Jérusalem
Oh!, Oh! Il faut s'aimer
Et retrouver Jérusalem

Il faut leur dire qu'ils n'ont rien a gagner
Il faut leur dire de s'aimer
S'ils veulent un jour ouvrir les portes du ciel
Et retrouver Jérusalem

Il faut leur dire qu'ils n'ont rien a gagner
Il faut leur dire de s'aimer
S'ils veulent un jour ouvrir les portes du ciel
Et retrouver Jérusalem


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