Bundock
L'AUTOMNE



Aucun nuage n'était venu faire des ombrages
Et bien tant mieux car ils n'étaient pas invités
Pour voir les feuilles qui colorent le paysage
L'automne et moi vîment apparaître une douce fée

Elle était jolie, un peu bizarre
C'était vraiment la perle rare
Elle aimait bien le vent et les étoiles
Elle ne portait qu'un simple voile

J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens l'amour lentement m'envahir
J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens mes pleure lentement mourir

J'avais suivi l'été le long de son sillage
Qui me porta vers un hiver en solitaire
Les arbres laisse tomber au sol leurs beaux plumages
Je les ramasse pour les offrir à l'étrangère

Elle était jolie, un peu bizarre
Oui c'est vraiment la perle rare
Elle aimait bien le vent et les étoiles
Elle ne portait qu'un simple voile

J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens l'amour lentement m'envahir
J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens mes pleure lentement mourir

J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens l'amour lentement m'envahir
J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens mes pleure lentement mourir

Elle me prit doucement dans ses mains
Je la suivis à travers les saisons
Elle est pour moi quatre printemps
Elle est pour moi l'arrêt du temps

J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens l'amour lentement m'envahir
J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens mes pleure lentement mourir

J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens l'amour lentement m'envahir
J'entends l'automne qui se meurt et se tire
Je sens mes pleure lentement mourir

J'entends l'automne


À la page des textes de Bundock
À la page des textes