Bundock
CINÉMA



J'aimerais te raconter une histoire
Que seuls les dieux connaissent
Ça parle de toi, ça parle de moi
Mais ça ne parle pas de lui
L'histoire commence sur un banc de parc
C'était un soir d'été
Un lampadaire dessinait deux ombres
En forme de liberté

Non je n'aime pas sortir du cinéma
Oui la vie me blesse comme un chien en laisse

Je te priais, tu me jurais et je te croyais
Tu me soufflais l'avenir je respirais tes désirs
Des larmes claires brillaient dans nos yeux
Comme des diamants
Des larmes d'amour brillaient dans nos yeux
Tout comme avant

Au loin il y a quelqu'un qui vient
Qui vient vers toi et je n'y peux rien

Non je n'aime pas sortir du cinéma
Oui la vie me blesse comme un chien en laisse

Non je n'aime pas sortir du cinéma
Oui la vie me blesse comme un chien en laisse

Au loin il y a quelqu'un qui vient
Qui vient vers toi et je n'y peux rien

Non je n'aime pas sortir du cinéma
Oui la vie me blesse comme un chien en laisse

Non je n'aime pas sortir du cinéma
Oui la vie me blesse comme un chien en laisse


À la page des textes de Bundock
À la page des textes