J'aimerais tant te rencontrer, pouvoir te parler,
Être en face de toi mais ta femme ne veux pas.
C'est louche on se croise sans jamais se coincer,
Quand tu prends l'ascenseur, je prend l'escalier.
Dès que tu téléphones je décroche à coté,
Ta voix de dictateur la fait toujours flippé.
Mais chez toi c'est la bonne humeur, tout est OK,
Je laisse des indices mais tu ne les trouve pas,
Je dévalise ta cuisine et je fume dans tes draps,
S'il n'y a plus de tequila c'est pas toi, mais moi qui la boit.
Chez toi c'est l'Italie, y'a toujours des spaghettis,
Les pieds sur ton bureau je mate l'album photo.
Jolies noces, j'étais beau gosse,
Je regarde tes vidéos et j'écoute ta sono.
Elle me masse le dos et je branche la radio,
Ah... il n'y a que chez toi que je trouve du repos.
REFRAIN:
Ne viens pas chez moi quand je ne suis pas là,
Ne viens pas chez moi Doc Gynéco,
Ne viens pas chez moi tant que je ne suis pas là,
Ne viens pas chez moi...
Je te vois facilement en militaire de carrière,
Ou en bizness affaires.
Vas y pars à l'étranger comme ça je pourrais m'installer,
Jamais je ne m'en lasse, toutes tes poches y passe.
Malgré son aide je ne trouve pas tes liasses,
On fait les courses avec ta carte bleue.
J'en profite je prend tout ce que je peux,
Tu es notre seul sujet de conversation,
Et ta voiture mon seul moyen de locomotion.
Je ne mange pas chez moi exprès pour manger chez toi,
Entre nos deux nos demeures il y a une grande différence,
T'as un plus grand canapé, une télé coins carrés,
Sur laquelle je zappe les chaînes câblées.
Mais quand j'y pense, t'as vraiment de la chance,
Que je sois celui qui vient chez toi quand tu n'es pas là.
REFRAIN
Tu ne me connais pas, ta femme me connais,
Je suis ton meilleur ami, ton cousin, ton refré.
Son nouveau délire, le mec qui l'inspire,
Le démon qui l'attire dans d'infinis plaisirs.
Tu perds la cadence, manque de puissance,
C'est à moi qu'elle pense, quand tu l'offenses,
À mes reins en acier, vitesse TGV.
Je vais dans les coins ou tu n'as jamais été.
Adultère féroce, avec un sale gosse.