Jeanne Mas
JOHNNY, JOHNNY
Paroles: Jeanne Mas, musique: Romano Musumarra, 1985


La nuit ouvre ses fenêtres,
Sur la planète déserte,
S'écrase dans une cigarette,
Joue sur l'onde muette.

Et l'homme s'enferme sans attitude,
Compte à rebours
Sa solitude;
"Barreaux rouillés
A cause d'elle,
Ma vie se perd,
Se sèche".

Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras,
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas,
Non Johnny, Johnny cette femme n'est plus à toi.

Comme un écho qui s'endort,
Épuisé par tant d'effort,
Tu l'aimes encore.

Les murs imprégnés de traces,
Son parfum se déplace,
La chercher même dans l'espace,
Quand l'alcool te menace.

Et l'homme se saoule
D'incertitudes,
Dans sa fierté
Cache sa blessure,
"Rideau de fer,
Comment faire,
Comment survivre sans elle".

Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras,
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas,
Non Johnny, Johnny cette femme n'est plus à toi.

Comme un écho qui s'endort,
Épuisé par tant d'effort,
Tu l'aimes encore.

Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras,
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas,
Non Johnny, Johnny cette femme n'est plus à toi.

Comme un écho qui s'endort,
Épuisé par tant d'effort...

Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras,
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas,
Non Johnny, Johnny cette femme n'est plus à toi.

Comme un écho qui s'endort,
Épuisé par tant d'effort...


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