Obscur
LA PHARMACIE


Tous les jours
Bafoué en amour
Comme une tête brûlée
Prêt à recommencer

Je vis la nuit
Pour déjouer l'ennui
Comme une bête sans abri
Qui craint la pluie

Mon rythme de vie me conduit à la pharmacie

Barrez vos portes
Surveillez vos femme
Car le viril
La bête arrive en ville

Avec ses démangeaisons
Ses souvenirs indélébiles
De nuits de moeurs fragiles

Son rythme de vie me conduit à la pharmacie
Son rythme de vie me conduit à la pharmacie


À la page des textes de Obscur
À la page des textes