Offenbach
PROMENADE SUR MARS


Je vous espionne de ma fenêtre
Promeneuse qui avez un chien
Vous progressez
Et l'air autour de vous
Construit des cercles
Contre les lesquels
Mon regard se heurte
Sans pouvoir y trouver la porte

Je vous espionne de ma fenêtre
Promeneuse qui avez un chien
Vous et le chien
Vivant sans doute sur une autre planète

Où l'homme que je suis
Quoiqu'il en pense
N'a pas accès
Ni de près ni de loin

Où l'homme que je suis
Quoiqu'il en pense
N'a pas accès
Ni de près ni de loin

Où l'homme que je suis
Quoiqu'il en pense
N'a pas accès
Ni de près ni de loin

Où l'homme que je suis
Quoiqu'il en pense
N'a pas accès
Ni de près ni de loin

Où l'homme que je suis
Quoiqu'il en pense
N'a pas accès
Ni de près ni de loin

Où l'homme que je suis
Quoiqu'il en pense
N'a pas accès
Ni de près ni de loin

Où l'homme que je suis
Quoiqu'il en pense
N'a pas accès
Ni de près ni de loin

Où l'homme que je suis
Quoiqu'il en pense
N'a pas accès
Ni de près ni de loin

Où l'homme que je suis
Quoiqu'il en pense
N'a pas accès
Ni de près ni de loin


À la page des textes d'Offenbach
À la page des textes