Henri Salvador
DA DA NIET NIET NIET
Paroles: Jean Broussole, musique: Lenjard Karz, 1969


Boris Borovitch
Da da niet niet niet
Est beau comme un Tzarevitch
Da da niet niet niet
Son grand père était soldat
Dans les armées du Tzar
Pas n'importe quel soldat
Car il mangeait caviar
Boris comme un très grand seigneur
Fait le baise main à ma soeur
Met des gants, envoies des fleurs

Et comme les cosaques
Conduisaient leurs chevaux dans les Carpathes
Comme un vrai cosaque
Il conduit son taxi
Dans les rues de Paris

(A deux à l'heure, trop embouteillage maintenant)

Boris Borovitch
Da da niet niet niet
Se fait énormes bakchichs
Da da niet niet niet
En allant souper avec vieilles dames en robes du soir
Qui commandent caviar
Qui prennent le thé dans samovar
Et quand il rentre au petit jour
C'est lui le chouchou d'amour
Des nuits de Saint Pétersbourg

Et comme les cosaques
Conduisaient leurs chevaux dans les Carpathes
Comme un vrai cosaque
Il reprend son taxi
Dans les rues de paris

Alors Boris chante
Chante vieille Russie
Et toutes ses clientes
Sont folles de lui...

Da da niet niet niet
Les femmes, il s'en contrefiche
Da da niet niet niet
Et comme son grand père qui lui a légué son G sept
Il n'aime que poker, que baccarat et roulette
Mais quand il n'a plus un kopeck
Qu'il est tout à fait à sec
Il remet sa vieille casquette

Et comme les cosaques
Conduisaient leurs chevaux dans les Carpathes
Comme un vrai cosaque
Il conduit son taxi
Dans les rues de paris

Ah Russie de Star terminée
Maintenant princesses toute vestiaire dans cabarets russes
Amuser petits bourgeois...


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