André Verchuren
AH! SI J'ÉTAIS... RESTÉ CÉLIBATAIRE

Paroles: Guy de Paris, A. Pletincks, musique: T. Luxembourg, 1960


Ah! si j'étais resté près de ma mère
Je n'aurais pas connu tes yeux menteurs
Ah! Si j'étais resté célibataire
Tu n'aurais pas piétiné mon bonheur
Tu es partie sans un adieu
Laissant mes rêves sur le feu
Et le lit tout défait
Ouvrant la porte à mes regrets
Ah! si j'étais resté près de ma mère
Tu n'aurais pas joué avec mon coeur

Toi tu m'avais dit:
"Je t'aimerai toujours"
J'ai compris depuis
Que ça voulait dire huit jours
T'es partie un soir
Me chercher des harengs
Je t'attends sans espoir
Depuis bientôt dix ans.


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