Dalida
QUELQUE PART AU SOLEIL Paroles et musique: J. Barnel, T. Rallo, 1988
Olé!
Les guitares font dansées les cheveux de femmes Madrilène
Et le soir au milieu du silence un peu lourd des arènes
Une voix au couleur arc en ciel au vibration magique
Nous ramène en musique
Quelques part au soleil
Si par hasard vous vous surprenez
A ne plus savoir que dire "olé"
La faute en est, à n'en pas douter
Au flamenco
Oho oho oho oho oho oho
Si vous rêvez chaque nuit encore
D'être embrassé par un matador
Ne cherchez pas ce sera la faute
Au flamenco
Oho oho oho oho oho oho
Les Gitans se réchauffent le coeur aux boissons Espagnoles
Les enfants sont couchés et rêvent aux cerfs volants qui s'envolent
Et soudain cette voix qui reviens briller comme une étoile
Comme pour faire escale
Quelque part au soleil
Amor amor amor
Les amoureux n'ont rien de mieux comme poème
Amor amor amor
Et en chanson c'est la façon de dire je t'aime
Aaaaaaaaaaaaamor amor amor
Ces petits mots un peu rétro qui nous font rire
Amor amor amor
N'ont pas besoin, on le sait bien de se traduire
Besame, besame mucho
Si dans un autres pays ça veut dire embrasse-moi
Besame, besame mucho
Toute ma vie je voudrais la chanter avec toi
Pour l'amour de Maria et les yeux de Maria
Il a jurer que jamais qu'il ne se combattrait pour l'amour de Maria
Pour les mains de Maria qui faisait le signe de croix
Il abandonnait la gloire les bravos les victoires et tous ceux qui criaient
Olé olé olé olé
Oh oh la féria, Oh oh la féria
C'est le chant des errants qui n'ont pas de frontière
C'est l'ardente prière de la nuit des gitans
Si par hasard vous vous surprenez
A ne plus savoir que dire "olé"
La faute en est à n'en pas douter
Au flamenco
Oho oho oho oho oho oho
Si vous rêvez chaque nuit encore
D'être embrassé par un matador
Ne cherchez pas ce sera la faute
Au flamenco
Oho oho oho oho oho ohoooo.