Léo Ferré
LA FEMME ADULTÈRE
Quand il soufflait sur ton corsage
Le vent de la miséricorde
Comme un pendu au bout de sa corde
Je balançais
Quand il soufflait sur nos voyages
Le vent de la désespérance
Comme un pendu sur sa potence
Je desséchais
Et quand il soufflera l'Amour
Aux voiles de ton beau navire
Afin que nul ne puisse en rire
JE TE TUERAI
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