Johnny Hallyday
LES MOULINS À VENT L. Florence - P. Obispo - P. Jaconelli
Tous les jours sont pareils
A part qu'il y a
De moins en moins de soleil
De moins en moins de soleil
Tu me regardes plus
Comme avant
A vivre en chien de faïence
Peut-être qu'on s'habitue
Mais ce sont des silences
Des silences qui tuent
Si je te dis plus rien
Dis-le moi
Si je suis plus quelqu'un
Que t'attends
Mais ne me dis pas
Que je me bats
Que je me bats
Contre les moulins à vent
On se touche par hasard
Dans un lit trop grand
Plus grand de soir en soir;
Tu m'embrasses plus
Comme avant
C'est encore tes absences
Qui prennent toute la place
T'es là sans être là
De plus en plus souvent
Si je te dis plus rien
Dis-le moi
Si je suis plus quelqu'un
Que t'attends
Mais ne me dis pas
Que je me bats
Que je me bats
Contre les moulins à vent
Pourquoi toutes les boussoles
Se dirigent vers toi,
Comme un tournesol
Moi je ne vois que toi,
Que toi, que toi
Tout le temps
Tout le temps
Tout le temps
Tout le temps
Tout le temps
Si je te dis plus rien,
Dis-le moi;
Si je suis plus quelqu'un
Que t'attends;
Mais ne me dis pas
Que je me bats
Que je me bats
Si je te fais plus rien,
Plus d'effets
On se fait à tout avec le temps
Ne me dis pas
Que tu t'en fous
Si jamais
Plus rien n'est comme avant
Avant
Avant
Avant
Non, plus jamais comme avant
Comme des moulins à vent
Non, plus jamais comme avant
Non, plus jamais comme avant
Comme des moulins à vent
Non plus jamais comme avant
Comme des moulins à vent