Laurence Jalbert
POUR TOI



Dans le désordre des années
Des nuits complètes à essuyé
Ces banc de blanc
Ces grands vents de fumée
Qui au matin st cachent
Sous ton lit de glace
Jusqu'à ce que tu reviennes
Qui au matin se cachent
Sous ton lit de glace
Jusqu'à ce que tu reviennes

Pour moi c'est très lourd à porter
Le silence que tu laisses s'installer
J'en sens le poids je l'entends penser
Au fond semblable à toi
Toi et tes états d'âme
Jamais de demi-mesure
Jamais de moitié
Au fond semblable a toi
Toi et tes états d'âme
Pas de moitié

Pour toi
Je me serais fait couper les deux bras
Mais la douleur très peu pour moi
Je t'aurais donné la lune
Mais elle ne m'appartenait pas
Je t'aurais donné ma vie
Une seconde avant ma mort
Pour te donner le désir
De vivre plus fort

Après toi je pourrais retourner
Là où le sol s'est effondré
A deux, revoir ce qui s'est passé
Mais si tu laissais tomber quelques-unes de tes armes
Je ne te laisserais jamais les ramasser
Mais si tu laissais tomber quelques-unes de tes larmes
Grand bien je te ferai

Pour toi
Je me serais fait couper les deux bras
Mais la douleur très peu pour moi
Je t'aurais donné la lune
Mais elle ne m'appartenait pas
Je t'aurais donné ma vie
Une seconde avant ma mort
Pour te donner le désir
De vivre plus fort

Pour toi
Je me serais fait couper les deux bras
Mais la douleur très peu pour moi
Je t'aurais donné la lune
Mais elle ne m'appartenait pas
Je t'aurais donné ma vie
Une seconde avant ma mort
Pour te donner le désir
De vivre plus fort

Pour toi
Je me serais fait couper les deux bras
Mais la douleur très peu pour moi
Je t'aurais donné la lune
Mais elle ne m'appartenait pas
Je t'aurais donné ma vie
Une seconde avant ma mort
Pour te donner le désir
De vivre plus fort

Dans le désordre des années


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