Bonsoir mon amour, tu dois certainement dormir en ce moment
J'avais juste envie d'entendre ta voix
C'est incroyable ce que tu peux me manquer
Et puis j'ai l'impression qu'on s'en doute ici
Tout le monde me le dit
Mon visage est de glace
J'ai le regard triste à mourir
Les valises m'agacent
J'ai du mal à dormir
Et partout dans la horde d'inconnus
Je te vois, j'en deviens fou, je m'y sens un peu perdu
Jamais les océans les continents qui éloignent un peu
Et le charme des autres femmes ne gagneront mes yeux
Tu me manques, tu me manques
Car je t'ai dans les veines
Et d'aussi loin quand je dors
J'ai des images qui te ramènent
Tu me manques, tu me manques
Je compte les semaines
Les chambres et les corridors
Les paysages où le vent m'emmène
Après quoi je cours pourrais-tu me le dire?
Et puis ça me plaît Montréal
Le métro le boulot, nos duos, nos duels
Et les lunes de miel
Ferme bien la maison
Viens me rejoindre je t'en prie
Prends le premier avion
Je t'attends à Orly
Quelques jours et des nuits entières à s'unir
Une provision d'amour et des baisers d'avenir
J'en veux aux océans, aux continents qui éloignent
Les bannières, les yeux des amants et les eldo
Tu me manques, tu me manques
Car je t'ai dans les veines
Et d'aussi loin quand je dors
J'ai des images qui te ramènent
Tu me manques, tu me manques
Je compte les semaines
Les chambres et les corridors
Les paysages où le vent m'emmène
Jamais les océans les continents qui éloignent un peu
Et le charme des autres femmes ne gagneront mes yeux
Tu me manques, tu me manques
Car je t'ai dans les veines
Et d'aussi loin quand je dors
J'ai des images qui te ramènent
Tu me manques, tu me manques
Je compte les semaines
Les chambres et les corridors
Les paysages où le vent m'emmène