Diane Tell
LA RUE EST COMME UNE MAISON M. Desbiolles - D. Tell
Même en voiture dedans la route
Je suis envapée un peu par la musique
À deux doigt de me noyer
Dans les rêves imbéciles d'avant de s'endormir
Je me raccroche au creux
Mais retournée comme un poulpe
La rue est comme une maison
Où il fait un peu plus froid et c'est tout
Je m'y reconnais à la trace
Sans bien savoir j'avance, j'avance
Il passe des hommes bien tournés
Avec des mines des oeillades
Mais comme vrillées vers eux
Pour se sourire qu'ils sont seuls una solitudine
Moins crue avec l'accent
Ils se raccrochent au creux
Mais retourné comme un poulpe
La rue est comme une maison
Où il fait un peu plus froid et c'est tout
Je m'y reconnais à la trace
Sans bien savoir j'avance, j'avance
Je me laisse aller
Je me laisse aller
Je me laisse aller
Au mot seule
Seule
La rue est comme une maison
Où il fait un peu plus froid et c'est tout
Je m'y reconnais à la trace
Sans bien savoir j'avance, j'avance
La rue est comme une maison
Où il fait un peu plus froid et c'est tout
Je m'y reconnais à la trace
Sans bien savoir j'avance, j'avance