Diane Tell
SOUVENT, LONGTEMPS, ÉNORMÉMENT
Paroles et musique: Diane Tell, 1982
Nous parlions toutes les deux
Les soirs de ces nuits d'or
En marchant de longues heures
Sans aller nulle part
On s'inventait des jeux
On s'imaginait des gars
Elle disait "Petite soeur, attends
Ne te mets pas au hasard"
Moi, j'ai aimé très souvent
Aimé longtemps puis énormément
Et je les ai tous perdu
Car comment aimer, je ne l'ai jamais su
J'étais près d'elle le jour
Où elle connue son mari
Peu après qu'elle m'ait dit
Vouloir se fiancer
Il ne ressemblait pas
À l'homme qu'elle m'avait décrit
Comme étant le rêve de sa vie
Le soir, elle m'avait confiée
Moi, j'ai aimé très souvent
Aimé longtemps puis énormément
Et je les ai tous perdu
Car comment aimer, je ne l'ai jamais su
(Moi, j'ai aimé très souvent)
(Aimé longtemps puis énormément)
(Et je les ai tous perdu)
(Car comment aimer, je ne l'ai jamais su)
On ne se voit presque plus
Elle a de beaux enfants
Sébastien et Julie
Qu'elle appelle "toute sa vie"
Elle ne dit rien de lui
Ni de bien, ni de méchant
Et me demande tout le temps
Mais qu'est-ce que t'attends
Pour (dire "oui"), elle disait:
(Moi, j'ai aimé très souvent)
(Aimé longtemps puis énormément)
(Et je les ai tous perdu)
(Car comment aimer, je ne l'ai jamais su)
(Moi, j'ai aimé très souvent)
(Aimé longtemps puis énormément)
(Et je les ai tous perdu)
(Car comment aimer, je ne l'ai jamais su)
(Moi, j'ai aimé très souvent)
(Aimé longtemps puis énormément)
(Et je les ai tous perdu)
(Car comment aimer, je ne l'ai jamais su)
(Moi, j'ai aimé très souvent)
(Aimé longtemps puis énormément)
(Et je les ai tous perdu)
(Car comment aimer, je ne l'ai jamais su)...
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